santi gutiérrez - the real deal.

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- santiago, gutiérrez -
" all magic comes with a price "
once upon a time, in a faraway land, lived...
Prénom(s), Nom : Santiago Gutiérrez, mais il se fait appeler par le surnom de Santi depuis son plus jeune âge, par tout le monde. Plus court, plus pratique, certaines personnes ne connaissent même pas son vrai prénom. Gutiérrez, le nom de famille qu'il a hérité de son père, d'origine espagnole.  Âge : vingt-quatre ans, il en aura vingt-cinq vers la fin de l'année, il est né un dix octobre. Métier/études : Santi touche un peu à tout, très habile de ses mains, sa principale rentrée d'argent provient d'objets qu'il répare ou retape avant de vendre à des prix biens plus élevés. Voitures, meubles, vélos, tout y passe. Il écume également les vides greniers à la recherche de petits trésors sous estimés. Il bosse également de temps en temps en intérim, principalement dans le BTP. Statut Civil : actuellement célibataire même si on le voit souvent en couple, souvent avec une personne différente, il tombe amoureux comme il achète une paire de chaussures Santi, pas vraiment réputé pour sa fidélité. Réside à : il a racheté les deux appartements du dernier étage d'un immeuble plus ou moins délabré sur wooley street à un prix défiant toute concurrence et a tout cassé pour faire un loft de ces deux appartements. Il a commencé les travaux il y a deux ans et arrive sur la fin, il ne lui reste plus que quelques finitions à travailler. Pas impossible qu'il le revende à prix d'or une fois qu'il aura tout terminé.


- oh, what a plot twist you were

(santi gutiérrez) Fils d’un père d’origine espagnole et d’une mère portoricaine, Santi a grandi dans les quartiers les moins huppés de Crescent Grove. Il n’a jamais été le genre de garçon à se retrouver dans des emmerdes plus grosses les unes que les autres. Non, Santi ne faisait jamais les erreurs qu’une seule fois. Il a été élevé à la dure, la moindre entorse au règlement entraînant une remontrance, le moindre écart entraînant une punition. Il en a pris des coups. Jamais rien de trop violent, jamais rien de trop apparent surtout, juste assez pour le marquer, juste assez pour que les les leçons que ses parents voulaient lui inculquer restent bien en mémoire. De temps en temps, quand c’était trop à supporter pour lui, il s’enfuyait par la fenêtre de sa chambre pour se réfugier chez les voisins. Un peu plus de calme, plus d’attention surtout, un peu moins de cris, un peu moins de sévérité. Pas le plus doué pour les matières académiques (et surtout pas intéressé), il n’a pas été à l’université après le lycée, il a commencé à taffer ici et et là, n’arrivant jamais à se poser nulle part. Aujourd’hui il répare et retape tout ce qu’il trouve, il achète pour trois fois rien des objets, des voitures, des meubles dont les gens veulent se séparer et leur rend leur gloire d’antan. Leur prix surtout. Touche-à-tout, il lui arrive toujours de bosser de temps à autre dans le bâtiment, peintre, menuisier, électricien, plombier, couvreur, il a tout fait ou presque, toujours volontaire quand un salaire est à la clé. Il ne tient pas en place Santi, il aime le changement, il aime quand les choses évoluent. Certains aiment ça chez lui car on ne s’ennuie que rarement avec lui, d’autres lui reprochent énormément, ses ex en tête de file. C’est un éternel enthousiaste, un good guy qui essaie d’amener de la positivité dans toutes les relations de sa vie.
(rumplestiltskin) Un couple fou amoureux l’un de l’autre. La maladie frappa violemment la femme. Mourante, son mari décida de faire appel à un magicien pour la soigner. Ce dernier accepta à condition de recevoir un paiement en échange : leur premier enfant. Désespéré, pris de panique, agissant dans l’urgence le mari accepta la proposition qui lui était faite et sa femme fût immédiatement remise sur pied, ils allaient pouvoir vivre leur grand amour pendant encore de nombreuses années. Le couple refusa néanmoins de donner leur premier enfant, Rumplestiltskin, lorsque celui-ci naquit et prirent la fuite pour échapper au magicien. Furieux, ce dernier lança une malédiction sur l’enfant qui acquit des pouvoirs et fût envahit par un côté sombre, presque démoniaque. Très vite, l’enfant commença à faire le mal autour de lui, il était incontrôlable. Vers ses dix ans, ses parents l’ont abandonné en pleine forêt, n’arrivant plus à le gérer, ne souhait plus être pris pour responsables de tous les problèmes qu’il causait. Par conséquent, Rumplestiltskin a dû apprendre à vivre par ses propres moyens. Alors il a marchandé son talent, il offrait ses services magiques lors de deals. En échange, il demandait toujours quelque chose, quelque chose qui pouvait parfois paraître anodin sur le coup mais qui la plupart du temps avait des conséquences désastreuses pour la personne qui passait ce deal avec lui. All magic comes with a price. Il profite sans scrupule de la détresse des gens, des situations impossibles dans lesquelles il se mettent sans arrêt pour les arnaquer, pour bâtir sa richesse, pour accroître son influence, pour toujours garder un ascendant. Afin d’éviter d’être traqué par ses ennemis, il change régulièrement de visage et ne montre jamais sa vraie tête quand il fait un deal.


- there was nowhere to go but everywhere

(un) Père d’origine espagnole chauffeur de bus et mère portoricaine serveuse, la famille Guitiérrez ne roulait pas sur l’or et habitait un des quartiers les plus défavorisés de Crescent Grove. Mais à la maison les règles étaient très strictes, tout était mis en oeuvre pour que leur fils ne dévie pas du droit chemin, qu’il ne se fasse pas entraîner dans de sales histoires, qu’il ait de mauvaises fréquentations. Tout était carré. Mais les rares fois où Santi débordait de ce carré, il le regrettait. Punitions en tout genre. Allant de la simple remontrance aux coups. Des gifles le plus souvent, mais parfois les choses allaient plus loin. Coups de pieds, coups de poing. Rarement à la tête, souvent dans le buste, là où les bleus n’étaient pas visibles, là où les traces ne risquaient pas d’alerter les instituteurs et professeurs à l’école. Jamais rien de trop violent, jamais rien ne nécessitant une visite aux urgences. Les parents étaient persuadés de faire ceci pour que leur fils s’endurcisse, pour qu’il soit un bon garçon. Un bon garçon qui trouvait régulièrement refuge chez les voisins les soirs où les coups avaient été trop nombreux. Aujourd’hui, il ne voit ses parents que très rarement, principalement pour les anniversaires et les fêtes de fin d’année. (deux) Santi n’a pas fait d’études mais il ne le regrette absolument pas. Trouver un boulot où il passe plus de la moitié de son temps assis derrière un bureau ne l’intéresse pas. A proprement parlé, il n’a pas vraiment de métier mais on le pourrait le qualifier d’auto-entreprenneur. Il achète à bas prix, retape, répare et revend les biens à prix d’or. Il a le nez pour trouver les bonnes affaires et c’est un négociateur hors pair. Il arrive toujours à faire baisser le prix d’achat de ce qu’il prévoit de retaper et est intransigeant sur son prix de vente. Dans une autre vie, il aurait certainement pu être un homme d’affaires impitoyable. Mais il ne se plaint pas de sa situation, au contraire, il aime vraiment ce qu’il fait. Preuve en est, il a même fait un investissement immobilier dans lequel il fait les travaux lui-même depuis deux ans. Une fois finis, le prix de son loft va énormément grimper et il songe de plus en plus à se spécialiser dans ce domaine s’il parvient à toucher le pactole. Acheter des appartements insalubres à prix dérisoire, tout y refaire et revendre en faisant un énorme bénéfice. (trois) Santi n’est clairement pas adepte des relations d’un soir, il a déjà essayé mais n’arrive jamais à en tirer une satisfaction suffisante, il souhaite toujours plus de ses relations. Il aime ou il n’aime pas, il n’a pas de juste milieu. Mais le plus souvent, il aime. Trop. Trop souvent. Il lui est arrivé plusieurs fois d’aimer sincèrement plusieurs personnes simultanément. Il ne se l’explique pas, c’est juste sa manière d’être. Pas vraiment ce qu’on pourrait appeler un petit ami fidèle, même s’il lui est arrivé d’avoir des exceptions. Il aime aussi vite qu’il peut se lasser, il aime l’amour. Il n’est pas pour autant adepte de mièvreries, pas romantique à l’excès, pas fan des grandes histoires dans les romans ou dans les films, non, il se contente de se laisser guider par son coeur et ce, même s’il finit la plupart du temps par blesser des personnes auxquelles il a tenu, ou pire, auxquelles il tient toujours. De manière assez hypocrite, il est quelqu’un de très jaloux et n’arrive jamais à le cacher.



- if a writer falls in love with you, you can never die
Pseudo, prénom : hustle, clément. Avatar : nathan niehaus, Lunaeye. Groupe :   caerwyn Scénario/Pv/Inventé ? inventé.  Un petit mot ? c'est le dernier :think: (et je cherche des liens, donc hésitez pas si vous êtes intéressés)