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 Tommy Bowman (tdrt) On en a gros !

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AuteurMessage
Teddy Henstridge
MEGAMODEST i never boast... or just a little.
Teddy Henstridge


Messages : 1694
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Age : 32

Tommy Bowman (tdrt) On en a gros ! Empty
MessageSujet: Tommy Bowman (tdrt) On en a gros !   Tommy Bowman (tdrt) On en a gros ! EmptyMar 22 Jan - 16:12

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
- tommy bowman -
" c'est pas moi qu'explique mal, c'est les autres qui sont cons. "
once upon a time, in a faraway land, lived...

Prénom(s), Nom : (thomas bowman) tout le monde l'appelle Tommy, il n'utilise son prénom que pour les documents officiels. Il a également un second prénom, Percy qu'il préfère garder pour lui plutôt que de le dévoiler à quiconque. Bowman, comme ses vieux qu'il ne voit que très rarement.  Âge : (trente-six ans) et les six dernières années lui ont paru être une éternité, il est tout sauf certain d’atteindre la quarantaine. Métier/études : (inspecteur de police) à la criminelle de Crescent Grove. Il bossait auparavant pour les narcotiques, période où il a fait plusieurs missions en infiltration. Statut Civil : (veuf) la vie lui a pris les deux femmes de sa vie lorsqu’un chauffard a fauché sa femme et sa petite fille de quatre ans alors qu’elles rentraient à pied, de l’école. Réside à : (wooley street) une petite maison avec jardin qu’il a laissé en friche.


- oh, what a plot twist you were

(Thomas Bowman) en grandissant, la vie de Tommy était plutôt tranquille, banale, presque inintéressante diraient certains. Une famille dans la classe moyenne, un père mécano et une mère conseillère d’orientation, une petite maison dans Crescent Grove, un frère plus jeune et un chien. Quelques relations une fois l’adolescence venue, pas forcément évident pour lui à l’époque puisqu’il était toujours vu comme le rigolo de la bande, le bon pote, celui qu’on avait du mal à imaginer en tant que petit ami. Mais, à force de persévérance, il ne s’en était pas trop mal sorti et, à la sortie du lycée, c’est l’école de police qui l’attendait. Il avait cette chance, de savoir depuis toujours ce qu’il voulait faire comme métier et il s’était lancé dedans corps et âme. Intégrant la brigade des stupéfiants une fois le diplôme en poche, sa situation n’était pas vraiment idéale à combiner avec une vie de famille (surtout lors des périodes d’infiltration). Mais au fil des années il trouva la femme avec qui il avait envie de faire sa vie, avec qui il avait envie de construire quelque chose de vrai, d’authentique. Son voeu fût exaucé puisqu’il lui passa la bague au doigt et moins d’un an plus tard naissait leur petite fille. Mais son long fleuve tranquille se transforma en l’espace d’une journée en véritable ouragan. Un simple coup de fil et tout avait basculé. Sa femme, sa fille. Renversées par un chauffard sur le chemin du retour de l’école. Sa femme était décédé sur le coup, faisant rempart de son corps pour protéger leur enfant, sa fille, elle, avait laissé échapper son dernier souffle dans l’ambulance. Elles étaient parties, son monde s’était envolé et il ne restait plus que lui. Lui, sa solitude, sa bouteille de bourbon et ce flingue chargé qu’il fixait depuis des heures.

(Perceval le Gallois, Chevalier de la table ronde) fils d’un chevalier, Perceval était le dernière enfant de sa fratrie, tous morts au combat. Alors qu’il n’était encore qu’un enfant, sa mère l’a emmené vivre dans un manoir isolé pour éviter qu’il devienne à son tour chevalier et suivre le destin tragique de ses frères, lui, le dernier héritier de sa maison. Ce n’était sans compter sur l’abnégation de Perceval, qui, porté par un énorme sens de l’honneur n’avait aucune intention de faire preuve de lâcheté en fuyant la vie pour laquelle il était fait. Sa route croisa rapidement celle du Roi Arthur. Valeureux combattant, maniant l’épée comme personne et surtout, définition vivante de la loyauté, il fût nommé chevalier de la table ronde dans la quête du Graal. L’éducation que sa mère a laissé des traces indélébiles, naïf au possible, il prend souvent tout au pied de la lettre, ne distinguant que très rarement le second degré. Son vocabulaire est lui aussi limité et il a bien du mal à suivre les conversations des nobles, étant bien plus à l’aise dans les tavernes, au milieu des roturiers. Il a néanmoins une énorme faculté pour le calcul mental, où il excelle. Don qu’il met en oeuvre à de maintes reprises en créant toutes sortes de jeux aux règles toutes plus compliquées les unes que les autres. Bon vivant par nature, il est toujours partant pour une soirée à la taverne ou un bon banquet.


- there was nowhere to go but everywhere

sloubi un. devenir flic était une vocation pour Tommy, c’est ce qu’il a toujours souhaité. Petit il regardait sans cesse des films policiers et fantasmaient sur les aventures toutes plus rocambolesques les unes que les autres des protagonistes. Il rêvait, lui aussi de mettre les méchants derrière les barreaux, de faire des courses poursuites, de sauver la belle pour finalement l’embrasser alors qu’une bâtiment explosait en arrière plan. Si sa vérité de flic est toute autre, il est tout de même complètement fan de son métier et n’en changerait pour rien au monde. Après l’école de police, il a intégré la brigade des stupéfiants de la Nouvelle Orléans et y a bossé pendant une dizaine d’années. Au cours de cette période, il a notamment été impliqué dans trois missions d’infiltrations qui ont duré plusieurs mois, la plus longue allant presque jusqu’à deux ans. Il en garde d’ailleurs un souvenir tout particulier sur le bras gauche, un tatouage du gang qu’il avait infiltré. Il y a quatre ans, il a demandé à être muté à la criminelle, persuadé qu’un changement de décor lui ferait du bien, lui permettrait peut-être de l’aider à faire son deuil. Pas une franche réussite. Il s’avère que voir des cadavres quotidiennement n’aide pas à oublier l’image de ceux de sa fille et de sa femme. sloubi deux. sa femme, il l’avait rencontré dans l’exercice de ses fonctions. Assistante du procureur il avait galéré avant qu’elle n’accepte ne serait-ce qu’un rendez-vous avec lui. Elle ne souhaitait pas mélanger travail et vie privée, mais, après plusieurs demandes et un certain passé ensemble sur leurs dossiers communs, elle avait finalement daigné lui laisser une chance autour d’un dîner. Il tomba rapidement fou amoureux d’elle et, si les horaires de son travail étaient compliquées à allier avec une vie de couple, la stabilité de leur relation était encore plus mis à mal lorsque Tommy partait en mission d’infiltration. Malgré tout, ils se donnaient toujours la peine de faire les efforts nécessaires au maintien de leur couple. Parce qu’il en valait le coup. Parce que Tommy ne se voyait pas faire sa vie avec quelqu’un d’autre. A tel point qu’il lui passa finalement la bague au doigt, lui qui ne pensait pas se marier un jour, par peur de laisser derrière lui une veuve, son métier pouvant se montrer particulièrement dangereux. Mais c’était la bonne, celle qui lui offrit le plus beau cadeau que la vie avait à donner moins d’un an après leur mariage, une petite fille. Une petite fille parfaite qui lui donna immédiatement l’envie d’arrêter les infiltrations, de se consacrer à des tâches plus tranquilles, de profiter au maximum de sa famille, de la moindre journée, de la moindre seconde. Une joie immense, un sentiment d’être béni, le plus heureux qu’il n’avait jamais été. Pendant quatre ans, avant la descente aux enfers. sloubi trois. il déteste la pitié des gens, les regards désolés qu’on lui lance quand les gens apprennent son histoire. Alors, dès qu’il est entouré il enfile ce même masque tous les jours. Il montre au monde qu’il va bien, que personne n’a besoin de s’inquiéter pour lui, il enchaîne blague sur blague, reprend ce rôle de bout-en-train qui était le sien auparavant. C’est devenu son quotidien, pour que les gens le laissent tranquille, pour qu’ils le laissent porter son fardeau, seul. Car dès qu’il rentre chez lui, seul le soir, la donne est bien différente. Il broie du noir sans cesse, boit, fume, casse ce qui lui passe sous la main, fond en larmes, fixe son flingue, le positionne dans sa bouche, serre la crosse aussi fort qu’il le peut, crie, n’arrive pas à appuyer sur cette putain de détente. sloubi quatre. il a un énorme death wish depuis la disparition de sa fille et de sa femme. Outre les quelques tentatives de suicide - où il n’a jamais eu le cran d’aller jusqu’au bout - tard chez lui le soir, cela se traduit par les risques inconsidérés qu’il prend au boulot. Il met souvent le protocole de côté, n’attend jamais pour des renforts, n’hésite pas à provoquer des bagarres. Pour l’adrénaline. Autant pour se sentir vivant que pour tutoyer la mort du bout des doigts, pour se sentir plus proche de sa famille. Ses raisons de vivre se sont en allés et il ne voit plus vraiment ce qui pourrait bien le pousser à continuer en ce bas monde. Mais malgré toutes ces tentatives, rien. Jamais. Quelques allers-retours à l’hôpital bien entendu, mais il est toujours là, comme une putain d’injustice. Alors puisqu’il n’arrive pas à crever, il se bute un peu plus chaque jour en fumant clope sur clope. S’il n’arrive pas à mourir d’une balle, peut-être que le cancer pourra se charger de venir achever sa pitoyable existence. vrac. il y a tout de même deux choses auxquelles il est énormément attaché, son chien, un golden retriever qui s’appelle Kadoc et qui n’en fait qu’à sa tête, et sa ford mustang fastback mach one de 1970. Sa belle famille essaie d’entretenir le contact avec lui en l’invitant régulièrement à venir manger chez eux mais il refuse quasi systématiquement, refusant de faire ressurgir davantage de souvenirs douloureux. Il a la gachette facile et est souvent impliqué dans des échanges de coups de feu. Le desert eagle est son arme de prédilection. Il va deux à trois par semaine sur un stand de tir, un exutoire qui lui permet de se défouler. Il boit (trop). Sa boisson favorite est le whisky, neat. Il ne porte jamais de costard, même pour les événements les plus formels. La seule fois où il a fait une exception était pour son mariage. Il faisait du football américain quand il était petit. Très solide sur ses appuis et doté d’une bonne vitesse, il faisait un bon running back. Aujourd’hui, il va surtout courir tard dans la nuit, tôt dans la journée, vers quatre ou cinq heures du matin, lorsqu’il n’arrive pas à trouver le sommeil. Il prendrait une balle pour son coéquipier. Enfin, il prendrait une balle pour n’importe qui, pour retrouver sa femme et sa fille, mais son coéquipier est tout en haut de la liste.

- if a writer falls in love with you, you can never die
Pseudo, prénom : hustle, clément. Avatar : boyd holbrook. Groupe :   kriegspire. Scénario/Pv/Inventé ? inventé.  Un petit mot ? à la recherche de liens péremptoires, donc n'hésitez pas à envoyer un mp si vous voulez être considérés en temps que tel.
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